Voici une analyse en 10 points de l’État de droit cosmopolite qui détruit la France. Plus une conclusion.
Introduction : l’État de droit cosmopolite nous a dépouillé de nos libertés dans tous les domaines.
1. Le cosmopolitisme a des faux nez : antiracisme, État de droit, société ouverte.
2. L’État de droit est l’instrument du cosmopolitisme pour détruire identité et souveraineté.
3. Les juristes opposent l’État de droit, Rechtsstaat en allemand, à l’État légal, qui est la tradition républicaine. Carl Schmitt et Julien Freund ont compris l’essence du politique et l’inanité de l’État de droit.
4. L’État de droit est contraire à la république, qui suppose l’État légal, où les juges sont soumis à la loi.
5. État de droit, Rechtsstaat, formule qui efface le pôle royal de la fonction souveraine. Expression captieuse pour légitimer le gouvernement des juges.
6. L’État de droit est au service des hors-la-loi :
1 – L’État de droit est un État où l’on relâche un immigré illégal parce que le contrôle d’identité était irrégulier.
2 – Dans l’État de droit, on acquitte un criminel parce que les écoutes étaient irrégulières.
3 – La prohibition aux États-Unis a fait chuter l’alcoolisme, mais l’État de droit y a fait le lit du crime organisé.
7. Les mêmes qui se gargarisent de l’État de droit soutiennent les policiers qui en sont les victimes.
8. La loi française doit l’emporter sur le droit international. Et l’État légal sur « l’État de droit », gouvernement des juges.
9. La répudiation de l’État de droit est nécessaire à notre liberté. Pas de solution du problème de l’immigration dans l’État de droit.
10. État légal : le pouvoir au peuple. État de droit : le pouvoir au juge.
Conclusion : une fois élu, je supprimerai l’État de droit, qui sera remplacé par l’État légal.
Les décisions du conseil constitutionnel pourront être cassées par le peuple ou par le parlement à la demande du chef de l’État.