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Triste symbole : l’horreur cosmopolite à l’ouverture des jeux olympiques

1. Avant les exploits des athlètes

Que l’on ne nous accuse pas d’être des rabat-joie ! Nous avons vibré comme tout le monde aux exploits de nos athlètes, nous avons été à l’unisson de la ferveur populaire, nous avons admiré le merveilleux Léon Marchand et ses quatre médailles d’or (en apprenant au passage avec quelque surprise que ces médailles n’étaient en réalité pas en or, mais en argent plaqué or…). Nous avons aussi apprécié l’excellente organisation des jeux de Paris, qui faisait honneur à notre pays, et la beauté des compétitions… Mais cela, c’est le contenu. On ne peut pas oublier le contenant, qui était infiniment moins glorieux. Nous voulons parler de la cérémonie d’ouverture, avant les exploits des athlètes, et de la cérémonie de clôture, après. Nous passerons rapidement sur cette dernière, qui nous a infligé deux heures d’ennui mortel, avec un détour par Los Angeles, au rythme de la musique nègre, qui était particulièrement pénible et affligeant. On nous a assuré qu’il y avait eu des références sataniques, ce qui est fort possible, mais on nous a dit aussi que cette cérémonie de clôture avait été amendée in extremis après le scandale soulevé par la cérémonie d’ouverture.

 

2. Abjecte parodie de la Cène

Le spectacle du début, que l’on a du mal à qualifier de cérémonie, a passé en effet les bornes de l’ignoble. Que l’on ne nous objecte pas les quelques passages convenables durant ces quatre heures de supplice que nous nous sommes imposées par devoir. Ce fut une cascade d’horreurs cosmopolites à l’état pur. Tout y était : obscénité, blasphème, profanation, et même un appel au meurtre et une évocation des victimes de la guillotine dégoulinantes de sang.

Le pire, le sommet de cette avalanche de délires nauséabonds, a été, pour un chrétien, et même pour celui qui ne l’était pas, l’abjecte parodie de la sainte Cène du Christ au milieu des apôtres, lui et eux étant représentés par des obèses transsexuels ou travestis. Il est incroyablement scandaleux que l’on ait pu montrer au monde (un milliard de téléspectateurs !) une telle abomination dans une cérémonie officielle.

 

3. Thomas Jolly, le responsable de cette ignominie

Le premier responsable de cette ignominie est évidemment l’individu qui a fait la mise en scène de toutes ces horreurs. Il a pour nom Thomas Jolly. Son inclination sexuelle nous importe peu et ne nous intéresse pas, elle relève et ne devrait relever que de son intimité. Mais, conformément à la logique perverse de la coterie homosexuelle, dite LGBT, qui veut à toutes forces étaler sur la place publique ce qui devrait rester cantonné dans la sphère privée, Thomas Jolly n’a cessé durant les quatre heures de son spectacle de nous assener sa propagande pour l’homosexualité. Avec même des détours vicieux par le sexe à trois…

Cependant, Thomas Jolly n’a pas agi seul, il n’est pas le seul responsable du spectacle qu’il a organisé. Le responsable en chef, c’est le sieur Emmanuel Macron, président de la république, qui a choisi Thomas Jolly ou qui du moins l’a confirmé (il avait été désigné en premier lieu par son prédécesseur, François Hollande). Il s’était d’ailleurs félicité par avance de la qualité du spectacle que l’ignoble Jolly allait nous proposer.

En outre, celui-ci avait des acolytes, qui partagent avec lui la responsabilité du spectacle infâme, notamment l’historien Patrick Boucheron, qui avait reçu en 2016 le « prix Lyssenko » de la désinformation scientifique ou historique, décerné par le Carrefour de l’Horloge, pour sa déconstruction de l'histoire de France. C’est apparemment à ce dernier que l’on doit la séquence sanglante sur Marie-Antoinette.

 

4. Appel à l’extermination des nobles

Comme on sait, la malheureuse Marie-Antonette, reine de France, a été guillotinée en 1793. La manière dont sa mort a été évoquée a, là encore, atteint des sommets, cette fois-ci d’une répugnante perversité et d’une cruauté morbide, puisque sa tête a été exhibée, dégoulinante de sang, et multipliée à toutes les fenêtres du palais de justice.

C’est dans le même état d’esprit que l’on nous a fait entendre le fameux chant de la populace, symbole de l’horrible révolution. Créé en 1790, le « Ça ira » est un appel à l’extermination des nobles :

« Ah, ça ira, ça ira, ça ira !

« Les aristocrates à la lanterne.

« Ah, ça ira, ça ira, ça ira !

« Les aristocrates on les pendra.

« Si on n’les pend pas,

« on les rompra.

« Si on n’les rompt pas,

« On les brûlera.

« Ah, ça ira, ça ira, ça ira ! »

Dernier couplet :

« Ah, ça ira, ça ira, ça ira !

« Les aristocrates à la lanterne.

« Ah, ça ira, ça ira, ça ira !

« Les aristocrates on les pendra.

« Et quand on les aura tous pendus

« On leur fichera la paille au cul,

« Imbibée de pétrole, vive le son, vive le son,

« Imbibée de pétrole, vive le son du canon ! »

La « lanterne » désignait anciennement un « fanal destiné à l’éclairage de la voie publique », autrement dit un réverbère. On sait que cet appel au meurtre n’est pas resté, si l’on peut dire, lettre morte. Des dizaines de milliers de nobles, hommes et femmes, ont été assassinés par la populace, dans les rues, sur les chemins, dans les maisons ou dans les châteaux… avec des raffinements immondes qui sont décrits en détail dans un livre magistral, Les origines de de la France contemporaine, d’Hippolyte Taine. Les nobles n’étaient pas seulement pendus, mais aussi dépecés, éviscérés, leurs boyaux étant portés triomphalement au bout d’une pique.


5. Simple expérience de pensée

Le populicide de la noblesse (le mot, moins usité, est plus français que « génocide ») n’a pas été total. Beaucoup de nobles ont réussi à émigrer pour échapper à la mort et au supplice. D’autres ont rallié honteusement la canaille révolutionnaire, réussissant même à en prendre la tête, comme Mirabeau, Barras ou Bonaparte. Mais le fait est que les nobles, qui étaient 200.000 en 1789 sur une population totale de quelque 20 millions d’habitants, ne sont aujourd’hui que 40.000 sur plus de 60 millions. Le populicide de la noblesse n’a pas été pour rien, à notre avis, dans la décadence de la France et dans son déclassement par rapport à l’Angleterre qui s’est produit au XIXe siècle, car elle était le sel de la nation et constituait une bonne partie de ses élites.

 

« Aristocrate » est synonyme de noble. Il y a un autre mot de quatre syllabes qui est, lui, synonyme de Juif, c’est « Israélite ». Imaginez, simple expérience de pensée, bien sûr, que quelqu’un remplace, dans le « Ça ira », aristocrate par Israélite, ce qui donnerait : « Ah, ça ira, ça ira, les Israélites à la lanterne, ça ira, ça ira, les Israélites on les pendra ! », nul doute que l’auteur de ce cri de haine et de cet appel à l’extermination des Juifs connaîtrait illico les geôles de l’État dit républicain, et ce ne serait que justice. Or, il ne doit pas y avoir deux poids, deux mesures, en la matière, puisque la justice ne fait pas acception des origines. Thomas Jolly et Patrick Boucheron devraient donc aller en prison pour avoir appelé à l’extermination des nobles, étant observé qu’il en reste quelques-uns en France…

Le seul mérite, bien involontaire, que l’on puisse trouver aux auteurs de ce sinistre spectacle est d’avoir révélé au grand jour le vrai visage de l’horrible révolution, qui fut une œuvre de mort et non de liberté, qui a été fondée sur le massacre des innocents, sur les atrocités perpétrées par la populace, relayées par le tribunal révolutionnaire, et qui a donné frauduleusement le nom de république à la tyrannie jacobine.

 

6. Esprit de Coubertin, es-tu là ?

Ce n’est pas tout. Le moins que l’on puisse dire, c’est que l’esprit du baron Pierre de Coubertin, fondateur des jeux olympiques modernes, ne souffle plus guère sur ceux qui ont lieu de nos jours. Thomas Bach, président du CIO (comité international olympique), nous a servi in fine un condensé de la doxa cosmopolite au nom de la diversité, de la parité et de l’inclusion.

En outre, le concept même de jeux « paralympiques », c’est-à-dire paraolympiques, qui sont réservés aux infirmes ou invalides, « handicapés » dans le jargon actuel ou, mieux encore, « personnes en situation de handicap », est tout à fait aberrant et même lamentable. Quelle que soit la compassion que l’on ait et que l’on doive avoir pour le malheur des infirmes, il est surréaliste et grotesque de les faire concourir au même titre que des athlètes. Cette fausse compassion, qui est un déni de réalité, est typique de l’aberration cosmopolite.

Le ridicule n’a pas été moins grand dans la manière dont la flamme olympique a été transmise de main en main en passant par des « drag queens » et autres travestis. Le plus comique de l’histoire, c’est que l’on semble avoir oublié les origines de ladite flamme : c’est en effet Adolphe Hitler (horresco referens) qui l’a instituée pour les jeux olympiques de Berlin en 1936 ! C’était du reste une excellente idée, qui pouvait se réclamer des processions au flambeau de la Grèce antique et qui rappelait que le culte du feu nous vient de la tradition indo-européenne. Le christianisme lui-même en a hérité puisque c’est une flamme, remplacée aujourd’hui par une lumière rouge, qui symbolise la présence réelle du corps du Christ dans les églises catholiques.

On notera aussi, non sans accablement, que l’anglais était ultra-dominant au cours de ces jeux et que le français y était réduit à la portion congrue, alors qu’ils avaient lieu à Paris, capitale de la France, que les jeux olympiques modernes ont été fondés par un Français, le baron Pierre de Coubertin, et que la langue officielle de ces jeux reste théoriquement le français… C’est un scandale auquel nous ne pouvons nous résigner. L’anglais est la langue de la superclasse mondiale, et il est le véhicule de l’idéologie cosmopolite et de l’aliénation des peuples.

 

7. Illustration du cosmopolitisme

Mais tout cela, le discours inclusif du président du CIO, les avatars grotesques de la flamme olympique, n’ont rien été à côté du spectacle donné en ouverture des jeux. Le seul mérite qu’on lui reconnaîtra, c’est, d’une part, d’avoir illustré de façon chimiquement pure le sens et la portée du cosmopolitisme, idéologie dominante dans le monde actuel, et, d’autre part, nous l’avons dit, d’avoir mis en évidence la vraie nature de l’horrible révolution de 1789.


Henry de Lesquen

1 commentaire

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Guest
Sep 01

Remarquable analyse d' Henry de Lesquen. Merci!

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