Depuis le 30 avril 2020, comme le prouvent les chiffres publiés par l’INSEE, l’épidémie de covid-19 est finie en France : il n’y a plus d’excédent de mortalité par rapport aux années précédentes. Il n’y a plus de morts, d’entrées en réanimation, d’hospitalisations, ni même de malades du fait du covid-19... L’augmentation apparente du nombre de “cas”, qui nourrit un “délire alarmiste”, selon l’expression du professeur Yonathan Freund, médecin urgentiste à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris, professeur à la Sorbonne, est due à la multiplication des analyses (article publié sur Twitter le 21 juillet). Et, comme vient de le dire le professeur Didier Raoult dans une vidéo du 4 août, ces nouveaux cas sont presque toujours anodins ; ce sont des jeunes qui ne tombent même pas malades, à de rares exceptions près, et le taux de létalité est nul.
Cependant, au cours de l'épidémie, en mars et avril 2020, il fallait agir, mais tout autrement que ce qui a été fait par ce président et son gouvernement d’incapables. Il aurait fallu prendre les mesures suivantes, qui devraient au demeurant être appliquées tout aussi bien pour une épidémie de grippe sortant de l'ordinaire, comme en décembre 2016 et janvier 2017.
1. Fermeture des frontières.
Macron ne l’a jamais fait, parce que c’était contraire à son idéologie cosmopolite. Il a même laissé 3.000 soutiens de l’équipe de Turin venir à Lyon pour une partie de balle au pied le 26 février 2020, alors que l’épidémie battait son plein dans le nord de l’Italie.
2. Interdiction des rassemblements de plus de 50 personnes, avec une dérogation pour la messe.
3. Production massive de gel hydro-alcoolique.
Rappelons qu’il y avait pénurie au début de l’épidémie.
4. Propagande massive de recommandations (et non d’obligations !) pour les mesures de précaution : pas de contact physique ; lavage des mains avec de l'eau chaude et du savon, à répéter aussi souvent que possible - avant et après le repas, avant de faire la cuisine et après l’avoir faite, après toute opération salissante, juste avant de se coucher et juste après le lever, au moins toutes les deux heures dans la journée, au moins huit fois par jour... ; application de gel hydro-alcoolique sur les mains ; ne pas se toucher le visage avec des mains sales. De plus, à l’intention des paniquards, autorisation (et non obligation !) du port du masque dans l’espace public (il était théoriquement interdit auparavant).
La propagande officielle n’a pas été assez précise.
5. Discipline sanitaire dans les lycées, à l'université, dans les administrations et les entreprises : pas de contact physique, hygiène (voir ci-dessus), aération des locaux, désinfection des rampes d'escalier et poignées de porte...
6. Dépistage systématique et mise en quarantaine des personnes contaminées.
La France a manqué de produits d’analyses à cause de l’incurie de Macron et de son gouvernement.
7. Soigner les malades dès le début de la maladie et laisser aux médecins la liberté de prescription.
Au contraire, on a laissé les malades chez eux sans traitement tant qu’ils n’étaient pas à l’article de la mort et l’on a interdit le seul médicament existant, l’hydroxychloroquine du professeur Raoult.
Mais PAS DE CONFINEMENT, mesure désastreuse, tyrannique, ruineuse et irresponsable. Pas de fermeture des écoles, des restaurants et autres établissements. Pas d’interdiction des messes, mesure incroyable imposée par les francs-maçons qui sont au pouvoir et qui n’avait jamais été prise dans notre histoire (on a même privé les chrétiens de la messe de Pâques) ! Pas d'isolement des vieillards et des mourants, mesure extraordinairement inhumaine qui les a privés des visites de leurs enfants. Pas de "distanciation" forcée. Pas d’obligation du port du masque dans la rue, dans les magasins ou autres lieux publics clos...
Avec cette politique, on aurait évité la panique et la débâcle économique et il y aurait eu deux fois moins de morts.
Henry de Lesquen
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