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Photo du rédacteurHenry de Lesquen

Les « migrants » sont des envahisseurs

« Migrants » est un terme de propagande lancé par les cosmopolites pour banaliser l’immigration illégale et même pour la légitimer comme si c’était un droit de l’homme… Or, ces étrangers qui veulent s’installer chez nous sans en avoir la permission sont les agents du grand remplacement de population qui porte atteinte à l’identité d’une nation souveraine, la France. Ce sont des envahisseurs qui violent les lois de la république et mettent la patrie en danger. Ce sont des ennemis de la France. Ils nous font une guerre qui n’est pas déclarée, mais que l’on doit appeler par son nom. Il va de soi, au demeurant, que nous n’avons rien contre les étrangers en général, avec qui nous voulons entretenir des relations fructueuses. Nous ne dénonçons que ceux qui entendent s’installer en France en toute illégalité.

Les prétendus migrants ne sont pas des malheureux qu’il convient de secourir, mais des ennemis qu’il faut combattre — dans le cadre strict de la loi républicaine, évidemment, et donc sous l’autorité de l’État, instrument au service de la nation, ce qui exclut les violences individuelles, lesquelles sont toujours condamnables.

Ces ennemis qui nous envahissent ne sont pas des victimes qu’il faudrait aider à nous envahir. Nous avons au contraire le devoir politique et moral de les repousser. Il ne suffit pas de condamner les passeurs ou de stigmatiser un « trafic d’êtres humains », stupide contresens. Les individus qui cherchent à nous envahir sont les vrais auteurs de l’invasion et ce sont eux nos ennemis. Ceux qui les aident ne sont que leurs complices.

L’armée et les forces de l’ordre doivent tout mettre en œuvre pour arrêter l’invasion, au besoin en ouvrant le feu sur les intrus si ceux-ci refusent d’obtempérer. Qui veut la fin veut les moyens.

La première chose à faire, cependant, est de mettre hors d’état de nuire les traîtres qui leur apportent leur concours, c’est-à-dire les militants des organisations cosmopolites qui affrètent des bateaux pour les transporter jusque sur nos côtes, ou qui leur font traverser nos frontières, et dont la place est en prison.

Et les enfants, dira-t-on ? Ce sont à leurs parents, et à eux seuls, que l’on peut imputer ce qui risque de leur arriver. Les enfants envahisseurs ne doivent pas être un alibi à notre faiblesse. Leur sort ne nous concerne pas et nous avons assez à faire avec nos propres enfants. Charité bien ordonnée commence par la patrie. S’ils servent de bouclier humain aux envahisseurs, ce n’est pas sur eux qu’on va ouvrir le feu, mais leur présence au milieu des adultes ne saurait nous retenir de refouler ceux-ci par tous les moyens. S’il nous arrive de détenir des mineurs sans leurs parents, ils devront eux aussi être immédiatement réémigrés là d’où ils sont venus ou, à défaut, dans un pays quelconque. Aucun envahisseur, quel que soit son âge, ne saurait être habilité à rester en France.

Si les envahisseurs se noient en Méditerranée, hommes, femmes et enfants, ils recevront collectivement le juste prix de leur agression criminelle contre la France ; leur naufrage servira de leçon pour autrui à ceux qui voudraient les imiter et sera susceptible de les dissuader. Soyons économes de notre pitié, pour qu’elle n’étouffe pas notre sens de la responsabilité envers la patrie ; elle doit s’appliquer aux Français qui souffrent et non à des étrangers qui sont de véritables ennemis.


Henry de Lesquen

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